Forêts ou filles d'aujourd'hui !
Pastiche de Femme d'autrefois de Lilasys
Elles n'avaient ni pot ni gueuse que n'atteint le statut de bellâtre,
Leur allure impétueuse se replie tel le chat de l'écume blanchâtre,
Cet hêtre ou perle la culture, du col entier qui tint et ment la voie lactée,
D'un début élégant de vers aux pieds bottés, est-ce le pin d'un taon aguiché.
Sur leur peau du lierre, sous la ligne des renards à la croûte entêtante,
Le roux carotte du lièvre retirait les baies et les airelles alléchantes,
Il musait se lassant des grasses de sang rouge du licou des vallées,
Qui servait au chasseur à vendre la tendresse de sa peau amochée.
Les sous venir des fermes d'aujourd'hui, attendent des peaux pas trop vieillies,
Des bouts à voir ou s'étale la prose des jeunes années qu'on envie,
Des femmes d'aujourd'hui, on recherche encore une petite chaleur,
Ces déesses aux visages de demain, ces reines aux grandes candeurs.
Sur les troncs rabougris, les traces de marcassins,
Font la pige aux troncs bien rosis des marques sur leurs seins,
Ces gravures indélébiles sont les traces du temps,
Tatouages de notre époque et de nouveaux printemps.
Pour un pastiche et sans que tu le veuilles,
De ton arbre, j'ai ramassé tes feuilles,
Tes feuilles remplies de vers aux multiples saveurs,
Pages remplies de mots, de maux et d'instants de bonheur.
Pastiche de Femme d'autrefois de Lilasys
Elles n'avaient ni pot ni gueuse que n'atteint le statut de bellâtre,
Leur allure impétueuse se replie tel le chat de l'écume blanchâtre,
Cet hêtre ou perle la culture, du col entier qui tint et ment la voie lactée,
D'un début élégant de vers aux pieds bottés, est-ce le pin d'un taon aguiché.
Sur leur peau du lierre, sous la ligne des renards à la croûte entêtante,
Le roux carotte du lièvre retirait les baies et les airelles alléchantes,
Il musait se lassant des grasses de sang rouge du licou des vallées,
Qui servait au chasseur à vendre la tendresse de sa peau amochée.
Les sous venir des fermes d'aujourd'hui, attendent des peaux pas trop vieillies,
Des bouts à voir ou s'étale la prose des jeunes années qu'on envie,
Des femmes d'aujourd'hui, on recherche encore une petite chaleur,
Ces déesses aux visages de demain, ces reines aux grandes candeurs.
Sur les troncs rabougris, les traces de marcassins,
Font la pige aux troncs bien rosis des marques sur leurs seins,
Ces gravures indélébiles sont les traces du temps,
Tatouages de notre époque et de nouveaux printemps.
Pour un pastiche et sans que tu le veuilles,
De ton arbre, j'ai ramassé tes feuilles,
Tes feuilles remplies de vers aux multiples saveurs,
Pages remplies de mots, de maux et d'instants de bonheur.